La légende :
- 1 : achat d’espaces publicitaires dans la programmation des chaînes télévisuelles ;
- 2 : achat de programmes audiovisuels publicitaires (géo-ciblés ou non) ;
- 3 : achat de programmes interactif publicitaires (géo-ciblés ou non) ;
- 4 : programmation d’espaces publicitaires au sein du média Internet ;
- 5 : recettes provenant du flux de visiteurs sur l’application ou le site Internet mobile ;
- 6 : retour sur recettes ;
- 7 : programmation d’espaces publicitaires au sein du média télévisé ;
- 8 : consommation des produits et services (achat en direct ou différé) ;
- 9 : connexion et utilisation de services interactifs auprès du service de l’opérateur de téléphonie mobile ;
- 10 : bouquets de chaînes thématiques à forte valeur d’usage. Les chaînes n’en tireront certes que peu de bénéfices financiers, mais le surplus de visibilité conféré par la diffusion en mobilité en font une solution intéressante pour des antennes dont la faible audience ne justifie pas une diffusion broadcastée ;
- 11 : recettes de l’interactivité et de la publicité (l’efficacité du ciblage socio-culturel étant accrue sur les chaînes thématiques) ;
- 12 : redistribution de la valeur due à l’interactivité provenant des services télévisuels édités par le réseau broadcast ;
- 13 : bouquets de 16 chaînes sélectionnées par le CSA ;
- 14 : retour sur recettes ;
- 15 : services télévisuels édités par le réseau unicast ;
- 16 : redevance audiovisuelle (taxe prélevée auprès des auditeurs et téléspectateurs, qui a pour objet le financement partiel ou principal des antennes publiques de radiodiffusion et de télévision) ;
- 17 : services télévisuels édités par le réseau broadcast avec décrochage géographique.